Mésaventures une nuit d'été

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il y a 9 ans

Mésaventures une nuit d'été

Auteur Chacha

Bonjour, Je me présente, je m’appelle Anne, j’ai 27 ans et je suis mariée depuis 5 ans avec Jérôme qui est responsable de production dans une verrerie, quand à moi je suis responsable achat dans une PME de mécanique/maintenance industrielle, c’est un poste qui demande du caractère, de la détermination et beaucoup de connaissances techniques.

Nos salaires nous permettent de vivre confortablement (nous cherchons un terrain pour faire construire une maison).Nous ne sommes que deux femmes au milieu de quarante hommes, je n’ai aucun problème pour me faire respecter (malgré mon petit gabarit), en effet je mesure 1.48 m et suis menue. J’ai les cheveux mis long que je laisse libres. L’année dernière j’ai fait pratiquer une augmentation mammaire, je suis passée d’un 75A à un 85C. J’aime beaucoup mes seins car leur forme est quand même naturelle et que mes aréoles sont petites.

Je pensais, jusqu’à l’aventure que je vais vous conter, n’avoir que peu de fantasmes (mon mari en a assez pour deux !). Dés que je le peux je ne porte pas de sous-vêtements (mon homme m’en offre régulièrement de splendides mais les sentir me gêne).

Je suis assez sportive, je pratique surtout des sports d’équipe ainsi que de la danse modern jazz (j’ai pratiqué durant 15 ans de la danse classique). Nous habitons un appartement d’une petite ville du sud de la France à 10 Km de la mer. L’été nous pratiquons le naturisme sur une plage sauvage presque déserte car difficile d’accès. Le fait d’être ainsi nue, est pour moi un véritable déclencheur de sensations, un appel au plaisir, aussi, à chaque fois Jérôme me fait l’amour sur cette plage. Entre le farniente et le fait que je suis méditerranéenne d’origine, je suis vite bronzée.

Un des fantasmes de mon homme est de m’exhiber, il voudrait je pense que je me promène nue tout le temps et partout. Plusieurs fois il m’a fait me promener dans des tenues transparentes sans sous vêtements en ville (de nuit quand même). Je me prête de bonne grâce à ses petits jeux.

Au début j'étais inquiète de la réaction des passants, mais finalement j'ai toujours reçu des regards amusés voire des compliments. Dans ces situations mon excitation est à son apogée, petit à petit je prends plaisir à m'exhiber.

Ce soir du mois d’Août il était question d’aller faire un petit tour en ville (comme presque tous les soirs en été, c’est un « rituel »). C’était un Vendredi, il devait être 23h00 et il faisait encore très chaud, les murs de la vieille ville rayonnaient la chaleur accumulée durant la journée. L’été avait débuté fin Mai et n’en finissait pas. La nuit, la température ne descendait pas en dessous des 27°C en ville et il faisait 32°C dans les appartements. Je passe une robe, des talons et m’apprête à sortir quand mon mari m’appelle dans la chambre. Là il me fait me déshabiller et me rase les trois poils qu’il reste sur mon pubis avec son rasoir électrique.

En effet il y a trois ans j’ai entamé une épilation au laser, au début uniquement pour le maillot mais rapidement j’ai fait épiler l ‘ensemble de mon corps. Il ne me reste qu’une minuscule touffe de poils sur le pubis, dessinée par mon mari (il voulait que je fasse tout enlever mais je tenais à me rappeler que je suis brune). Je ne trouve pas qu’un sexe glabre soit très esthétique, mais c’est quand même très agréable et très pratique (essayez, surtout le SIF).

Il me demande de passer une petite robe de plage en soie dos nu très légère et très courte (genre nuisette). Pour compléter ma tenue il me présente son dernier cadeau : des mules plateformes en faux bois (5 cm de plateforme!) avec des talons aiguilles de 14 centimètres (il doit me trouver trop petite, lui mesure 1.85m et est plutôt « baraqué », nos amis disent que je suis sa moitie). Elles sont jolies car en cuir marron mais quand même très sexy. La plateforme ramène la hauteur de talon à 9cm et fait paraître mes pieds plus petits qu’ils ne le sont en réalité (je chausse du 35). Je les ai même mises pour faire les courses, c’est pas mal, avec je tutoie les 1.60 m : pratique pour attraper le paquet de pâtes en haut de la gondole !.J’accepte de sortir ainsi vêtue à condition que nous n’allions pas dans des lieux très fréquentés.

Je ne prends pas mon sac ni mes clefs (question d’habitude). Nous sortons sur le palier et lors de la fermeture de la porte je ressens ma vulnérabilité, l’étoffe est si légère que j’ai l’impression d’être nue. Petit contrôle dans la glace du couloir de l’immeuble, ma robe n’est pas trop transparente et bien que très courte reste correcte pour une robe d’été. Après avoir récupéré la voiture nous partons vers le centre ville. Après 10 minutes nous la stationnons dans une petite rue. Je me sens bien et mon mari est plein d’attention. De temps en temps il me serre contre lui en remontant ma robe, il me caresse les seins ce qui les fait pointer et mon clito érigé est au bord de l’explosion. Après une petite demi-heure de promenade il m’entraîne dans une cour d’immeuble qui sert de parking. Nous connaissons bien cette cour car elle est classée monument historique et fait partie des visites guidées de la ville (nous l’avions déjà visitée mais de jour).Un portail en bois monumental que j’ai toujours vu ouvert nous accueille.

Trois voitures sont garées, les appartements des immeubles alentours sont éteins, pas étonnant à cette heure, il s’agit principalement de cabinets médicaux. Le contraste entre cette cour très sombre car dépourvue d’éclairage et la rue fortement éclairée est surprenant. Le sol de la cour est dallé de gros pavés (pas facile de tenir avec mes talons). Les caresses reprennent de plus belles, ma robe est relevée au dessus de mes seins, je profite de ses caresses, je me laisse faire. Sa bouche a remplacée ses mains, il aspire mon sexe, le caresse de sa langue, puis sa bouche p rend possession de mes seins. Il relève encore ma robe, je lève les bras, le bout d’étoffe se retrouve coincé dans la ceinture de son pantalon. Je surveille qu’elle reste bien accessible, au cas où… Comme un fétu de paille il me soulève et m’assoit sur le capot d’une voiture, puis saisissant mon clitoris dans sa bouche il le suce comme un bonbon. Je relève mes jambes sur mes seins, j’adore cette position. Il glisse deux doigts dans mon vagin et tout en en caressant l’entrée il continue de sucer mon clitoris. Ca y est je prends du plaisir, j’explose dans un râle libérateur.

Encore sous le coup de ce plaisir brutal il me marmonne à l’oreille : « je reviens avec la voiture » et il s’enfuit. Rapidement je déplie mes jambes et me redresse, je hurle « reviens » et cours vers le portail, maudites chaussures, d’un coup je suis happée par la lumière : NON ! Il est parti et je suis seule, nue, nue comme un vers ! Vite revenir vers les voitures et me mettre à l’abri, il va voir ce qu’il va voir ce con !

Je retire mes chaussures, la sensation du sol tiède et la peur d’être surprise réveillent mes sens, finalement quelles sensations ! Bon, en attendant cet imbécile je m’accroupis à l’abri d’une voiture, je fulmine. Je ne risque pas grand chose, je suis bien protégée par la voiture et par la nuit. Il n’y a pas un bruit, j’ai vraiment l’impression d’être seule au monde. Au fil des minutes d’attente la peur s’estompe, je m’enhardis et fait même quelques pas dans la cour pieds nus pour me donner des émotions. Je vais même jusqu’à m’allonger au centre de la cour, j’écarte les jambes et imagine que quelqu’un me surprend dans cette position, je m’amuse à me faire peur.

Finalement j’aime cette situation, j’en suis toute excitée, je sens mon sexe s’humidifier à nouveau et après un passage furtif de ma main sur mes lèvres je me rend compte que mon clitoris est toujours bandé. Toujours jambes écartées, yeux fermés j'entreprends de me caresser. Alors que monte mon plaisir,un bruit de porte me fait ouvrir le yeux , j’aperçois de la lumière au rez de chaussé. Je me relève et cours vers les voitures, une porte s’ouvre, un homme est sur le perron de l’immeuble. Mon cœur bat la chamade, il me faut mieux me cacher. Je recule à l’arrière de la voiture. J’ai faillit me faire surprendre jambes écartées au centre de la cour ! J’entends des pas et une portière. Ouf, il prend la voiture la plus éloignée. Il allume les phares, démarre, ça y est, il part, je suis sauvée. Mon cerveau survolté analyse scrupuleusement toit ce qui se passe. Il passe le portail, la faible lumière du clignotant éclaire mon refuge, il est parti. Tiens le clignotant continu. Un grincement, c’est le portail : il se ferme !

Vite fuir de ce piège. Juste le temps d’attraper mes chaussures, je cours et me réfugie dans l’encoignure gauche du portail. Je me retrouve en pleine lumière juste protégée par un pilier large de 60 centimètres, dans mon dos le portail finit sa course. La rue étant en sens unique les automobilistes qui passeraient ne peuvent me voir mais il n’en est pas de même des piétons ! Il faut que je me cache, réfléchir mais vite. La rue est déserte, arriver jusqu’à la rue perpendiculaire (30m à découvert) pour me mettre à l’abri derrière une automobile. Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite, je me lance pour un sprint d’anthologie.

OUF ! j’y suis. D’ici je verrai arriver mon imbécile de mari. Plus qu’à attendre. Aux alentours les lumières des appartements sont éteintes, la ville dort ou est partie en vacances. La peur qui me tenaillait s’est estompée et finalement je souris de ce que je viens de faire : courir nue dans la ville, jamais je n’y avais songé. Mon homme me fait toujours faire des choses délirantes, mais cette fois c’est le pompon. Soudain des bruits, une dizaine de jeunes remontent la rue (j’ai bien fait de me déplacer !). Le s murs de la vieille ville ont une particularité : ils amplifient les bruits. Je les entends comme s’ils étaient à 1 mètre. Juste à ce moment mon mari arrive avec la voiture, il s’arrête, sort et va devant le portail. Que faire, si je l’appelle les jeunes me verront, j’attends. Il fait les 100 pas, les jeunes arrivent à son niveau et, mais que fait-il ? Il repart vers la voiture et s’en va. Bon, il va revenir c’est sûr. Il ne me reste plus qu’à attendre qu’il revienne.

Après quelques minutes je n’entends plus aucuns bruits, la rue est redevenue déserte. Juste un contretemps. Prise d’une envie d’uriner je mets mes chaussures et m’accroupis au-dessus du macadam en écartant bien les cuisses pour ne pas me souiller et voilà c’est parti. La sensation est top, un pipi nue en ville en pleine lumière c’est une première. D’un doigt j’effleure mon clitoris qui bandé à l'extrême réclame que je m’occupe de lui. C’est comme s’il s’emparait de ma main, je ne peux plus la dégager.

J’écarte les cuisses le plus possible et me masturbe comme si j’étais en manque depuis un siècle, très rapidement le désir me submerge, il me faut m’asseoir sur le bord du trottoir pour ne pas chavirer et me recroqueville. De fatigue, je m’assoupis. Je reviens à moi surprise d’être là. Tout me reviens à l’esprit, mais combien de temps ais-je dormi ? Quelle heure est-il ? Où est mon mari ? Une idée : regarder l’heure sur la pendule d’une voiture : 04h20. J’ai du dormir près de 4h00 ! Il faut que je rentre. Mon mari doit être mort d’inquiétude. L’appartement est à 1 heure de marche.

La peur panique du début à disparue et finalement je me sens assez bien, mon cerveau n’est plus en ébullition. Je réfléchis à ma situation: me rendre chez un inconnu pour demander des vêtements ou rentrer au plus vite? A cette heure un Samedi matin au mois d’Août il n’y a personne en ville, pas de voiture, la ville est partie en vacances à la mer.

Ma décision est prise, voyons l’itinéraire qu’il me faut emprunter : je vais traverser la passerelle qui enjambe le canal, le parc puis je prendrai les rues piétonnes, le risque de croiser quelqu'un est pratiquement nul. Rassurée je quitte mon abri, seuls mes talons résonnent entre les immeubles. La fraîcheur du canal me donne la chair de poule, finalement je ne pense plus à ma nudité. Je me dirige vers le parc, toujours personne en vue, je suis tellement bien qu’un sentiment d’euphorie s’installe.

L’arrosage des pelouses est en marche, de l’eau m’asperge, c’est délicieux. J’ai toujours voulue jouer avec les jets d’eau des pelouses, aussi j’abandonne mes chaussures et marche pieds nus sur la pelouse. C’est trop bon ! Je m’allonge sur le dos et commence à me caresser, d’abord les seins puis je descends ma main à mon sexe. Mon clitoris tout enflé est douloureux, il va falloir faire doucement. J’écarte les jambes le plus que je le peux, je me donne à la n uit, un doigt puis deux dans mon sexe, je fais durer mon plaisir, je prends mon temps.

L’arrosage s’est arrêté depuis longtemps. Puis une envie folle, j’ai besoin d’être pénétrée. Je me lève et cherche un objet. Tout à coup mon regard est accroché par la grille, plus particulièrement par les boules qui la terminent. Je carese de mes doigts les sphères, celle du bas retiens mon attention.

Rapidement je me mets en position, accroupie, jambes écartées je tente de la faire pénétrer, je force, tout doucement elle me pénètre, puis tout à coup mon ventre aspire l’intrus. Aprés quelques rapides va et vient je me soulève afin d’étendre mes jambes, mes bras me soulèvent, je déplie mes gambettes puis tout doucement me laisse redescendre. Complètement emplie, j’écarte mes jambes et caresse mon clito. Ainsi empalée je ne peux plus bouger. Pour faire durer mon plaisir je pratique de nombreuses poses, ainsi emplie la moindre contraction me fait grimper au Nirvana. Et puis voila il arrive, l'orgasme me déchire les entrailles, je m'entends crier.

Je m'affale et reste quelques temps ainsi, allongée sur le dos à reprendre mes esprits. Je me demande combien de femmes ont déjà fait ça dans ce parc avant moi, si je suis normale de me donner du plaisir dans un lieu public et d’aimer ça. Je réfléchis à la découverte de ce nouveau pan de ma sexualité, à tout ce que j’ai découvert en si peu de temps, à mon histoire: à ma naissance la sage femme à la vue de mon entrejambe a pensée que j’étais un garçon.

Par la suite et après plusieurs bilan hormonaux (confirmation que tout allait bien) il m’a fallut apprendre à vivre avec un sexe hors norme : des petites lèvres bien trop grandes et un capuchon véritablement disproportionné. Vers l’âge de 14 ans cette particularité m’a énormément complexée, difficile de prendre ma douche avec les copines après le sport, impossible de porter des jeans ou de la dentelle, etc.…. Je commençais à déprimer quand mes parents qui ne voulaient pas me faire opérer ont changés d’avis. Le gynécologue nous a conseillés de consulter un chirurgien esthétique. Après une longue consultation le verdict est tombé : réduction du capuchon du clitoris et des petites lèvres. Le mois suivant j’étais opérée.

Malheureusement la cicatrisation s’est mal déroulée, et après 8 mois et deux opérations, il dû procéder à l’ablation totale de mes petites lèvres et de mon capuchon. Enfin je découvrais ce qu’était un orgasme. Alors que jusque là j’avais honte de mon sexe, maintenant j’en étais fière, j'étais comblée. Esthétiquement c’est parfait, si je ne suis pas excitée mon clitoris est pratiquement invisible, protégé par mes grandes lèvres, on ne distingue qu'une petite pointe rose. En revanche dés lors qu’il est excité il sort complètement de mes lèvres (d’environ deux centimètres). Cette petite particularité m’a valu bien des surprises : me masturber involontairement avec les perches des téléskis ou en faisant du vélo, et sans parler de la gêne occasionnée par le port des sous-vêtement (impossible de porter des pantalons). Les robes et jupes c’est bien, non ? Et puis Jérôme adore.

Sans m’en apercevoir je laisse s’exprimer une petite voie qui résonne dans ma tête et me dit « reste là, attends que quelqu’un te surprenne ainsi! » Je lutte afin que cette voix ne prenne pas le contrôle de ma volonté ; en vain ? Je reste ainsi, les yeux fermés et les sens en éveil. Je sens les brins de pelouse qui bougent contre ma peau, tiens, il me semble qu’un insecte m’escalade. Mes sensations sont exacerbés, je ressens la vie qu’il y a autour de moi, je fais corps avec la terre. Prise de vertiges, il me semble que je suis transportée dans un autre monde, je me laisse porter par cette sensation, je plane. Un bruit de moteur me sort de mes songes. J’ouvre les yeux, il fait bon, je suis reposée. Voulant me redresser une douleur m’interrompt. Les évènements de la nuit me reviennent à l’esprit, je suis allongée nue sur la pelouse du parc, empalée sur une grille et, il fait jour ! Vite, il me faut fuir, rentrer tant qu’on ne m’a pas vue. Vite, me dégager, je me soulève et tout doucement fais glisser l’intrus. La douleur m’arrête, c’est trop gros et je suis trop sèche ! Affolée je mets de la salive sur mes doigts et masse l'entrée de mon vagin. J’entends des voix ! Je tente à nouveau de me soulever, c’est mieux. J’entreprends de lents aller/retour. Alors que je commence à prendre du plaisir j’arrive enfin à me libérer. Je me lève en regardant autour de moi, personne. Je pars de la pelouse, récupère mes chaussures, et alors que j’emprunte l’allée centrale j’aperçois un camion de la mairie stationné, un employé en fait le tour. Il ne m’a pas encore vue, je fuis en retraversant la pelouse. Impossible de sortir du parc, l’employé est sur le chemin que je dois emprunter. T out d’abord me cacher, je me réfugie derrière une haie de roseaux.

Quelle panique, j’en ai les jambes qui tremblent! Derrière la haie un petit chemin puis un mur de pierre haut d’un mètre surmonté d’une grille en fer forgé et derrière cette clôture : la rue qui surplombe mon abri d’un mètre. L’employé de la mairie arrive sur la pelouse où j’étais étendue il y a peu en poussant une tondeuse. Je n’en reviens pas qu’il fasse jour, comment ais-je pu perdre tout ce temps ? Accroupie j’observe le jardinier à travers la haie, j’attends qu’il s’en aille. Le temps s’écoule jouant contre moi, la ville se réveille doucement, des véhicules commencent à circuler dans la rue derrière la clôture. Recroquevillée je suis complètement affolée du piège dans lequel je me suis mise. Il va en finir avec cette pelouse ? Ca y est, il s’est arrêté. Il tourne autour de la tondeuse, règle quelque chose, redémarre, s’arrête. Il démonte quelque chose, il est en panne ! Je m’assoie le dos contre le mur en attendant qu’il s’en aille.

Le camion des poubelles passe, j’en suis sure, je suis perdue, il est trop tard, on va me découvrir. Je regarde mes seins, mon ventre, mon sexe imberbe d’où jaillit mon bouton, mes jambes, mes pieds, je m’imagine saisie, exhibée, touchée partout. Cette pensée m’est étrangement agréable, je passe la main sur mon sexe : je mouille ! Que m’arrive-t-il ? Non je ne veux pas, on ne me prendra pas nue. Il me faut trouver une solution, une multitude d’idées traversent mon esprit. La conclusion est toujours la même, il me faut me résigner à aller demander de l’aide au jardinier, je me sens honteuse.

Que va-t-il penser de moi ? Et si c’était un pervers, s’il en profitait pour appeler ses collègues pour m’exhiber ? Je n’arrive pas à trouver le courage de me rendre, je cherche des raisons de ne pas le faire. Il doit bien y avoir deux heures que je suis cachée derrière cette haie. Maintenant il fait grand jour, je vois des gens qui circulent à pied dans la rue. Si un passant s’approche de la grille il me verra. De nombreuses personnes traversent maintenant le parc, il doit être prés de huit heures. Bientôt les mères de familles viendront avec leurs enfants! Il faut que je trouve quelque chose pour me couvrir.

Une idée : prendre des feuilles de roseaux les tresser et m’en faire un vêtement. Tout d’abord arracher des feuilles sans se faire voir, rester à l’abri du mur, seulement il faut que je me lève pour attraper les feuilles, je scrute la rue, me lève et en arrache une poignée : c’est bon, ça marche. Je suis sauvée, maintenant j’ai une solution. Je renouvelle l’opération mainte fois. Un coup de klaxon me fait sursauter, je me retourne un automobiliste arrêté en pleine rue m’observe, je reste ainsi, figée par son regard. D’un coup je reprends mes esprits et m’accroupis. La voiture redémarre et disparaît. La circulation est trop importante pour continuer ma cueillette sans risque. Je tresse les feuilles glanées pour me faire un pagne et un soutien gorge. La longueur me permet juste de les tresser ensembles mais ça a l’air d’aller. Essayage de mon soutien-gorge, un peu court et il me faut le fermer. Je noue deux feuilles, ça tien. Je me lève et passe mon pagne, je m’observe, c’est très court, il ressemble à une large ceinture pleine de trous, idem pour mon soutien gorge, heureusement que mes seins tiennent seuls. Malgré tout, ça cache l’essentiel. Trop tard pour réfléchir, il me faut sortir de ma cachette, je longe les roseaux et sort pieds nus en courant à quelques mètres de l’employé de mairie qui ne dit mot, surpris par mon apparition. Arrivée à la sortie du parc je me chausse et file en quatrième vitesse.

Vite rentrer à l’appartement. J’accélère le pas autant que je le peux, les hommes que je croise me sourient, les femmes m’ignorent. Aucune remarque désobligeante sur ma tenue, pas de geste obscène, je suis soulagée de ne pas éprouver de honte. A ainsi presser le pas je transpirebeaucoup, aussi la sensation provoquée par le vent sur ma peau et mon sexe me rappelle que je suis pratiquement nue. Cette pensée me déconcentre. Cela doit bien faire dix minutes que je marche et j’ai du mal à rester concentrée. Je suis de plus en plus excitée et la réaction produite par l’air qui s’immisce entre les lèvres de mon sexe me confirme que je mouille abondamment. Ne penser qu’à arriver au plus vite à l’appartement, j’accélère encore le pas. Cette marche accélérée provoque la chute de mon pagne qui se prend dans mes talons. J’ai faillit tomber, j’en perds une de mes mules. Aussitôt je m'accroupie, je le ramasse, il s’est cassé en deux, une tresse a lâchée. Rapidement je noue deux feuilles ensembles pour le remettre en état. Alors que je tends le bras pour rapprocher ma chaussure du bruit attire mon attention. je redresse la tête et vois arriver des jeunes face à moi. Ils me sifflent, gesticulent, ils pressent le pas dans ma direction. Il me faut fuir. Prise d'une peur panique je me redresse une main devant mon sexe, l’autre tenant mon vêtement. J’essaie de remettre ma mule, affolée je n’arrive pas à y glisser mon pied, elle se renverse, du bout des orteils j’essaie de la redresser mais je tremble, je panique, j’en lâche mon pagne. Ils chargent, je suis leur proie. Désormais immobile je protège mon sexe d’une main et ma poitrine de l’autre, mon pagne gisant à mes pieds. Je n’ai toujours pas remis ma chaussure et suis donc en équilibre en appui sur la pointe des orteils de mon pied déchaussé. Ils m’encerclent, ils rient. Personnene me touche. Parmi les garçons je compte trois filles, j’espère qu’elles vont m’aider. Une d’elle s’approche de mon oreille et me dit

Elle : Que fait une si belle petite chose comme ça à poil dans la rue ? Elle sait que c’est dangereux ?

Moi : Ne me faites pas de mal, il faut que je remette ma jupe.

Elle se baisse, ramasse mon pagne et tout en me décochant un large sourire me le tend. Alors que je vais pour le saisir et sans que j’ai le temps de l’attraper elle m’arrache mon soutien gorge qui se déchire. Ce déshabillage forcé a faillit me faire tomber. Péniblement je réussi à me stabiliser. Une main sur mon sexe et un bras barrant mes seins je suis figée par la peur et la honte.

Moi (implorant) : S’il vous plait, je suis toute nue, aidez-moi

Elle : A ça oui, je te le confirme, tu es maintenant à poil, la question est : qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Tu me fais penser à une petite statue tiens, une raze moquette !

Ils éclatent de rire. Je suis vexée, non seulement je suis complètement nue mais en plus elle vient de faire allusion à ma taille, des jeunes tous justes majeurs se jouent de moi et je ne peux rien faire, je suis soumise à leur volonté, à la volonté d’une bande de gosses. Le cercle se resserre encore autour de moi pour m’empêcher de fuir, je ne distingue plus la rue. Mes modestes vêtements dans ses mains elle a entrepris de les détruire. Ca y est je suis perdue, elle les a réduits en pièces, je n’ai plus rien pour me couvrir, l’impensable est arrivé, j’en ai les larmes aux yeux, mes forces m’abandonnent. Un d’eux me dit qu’ils veulent juste s’amuser, qu’ils de ne me feront pas de mal et que si j’obéis ils me donneront des vêtements. Ils se présentent ensuite par leurs noms et prénoms et insistent pour me faire la bise, ils sont 14. Toujours protégée de mes mains j’obtempère et les embrasses tour à tour. Les garçons me précisent qu’ils ne me toucheront pas, et que je n’ai rien à craindre. Ils présentent bien, ils sont tous étudiants en première année et de toute façon a part leur obéir que puis-je faire ? Maintenant que je suis nue, mes modestes vêtements détruits. D’abord ils me demandent de retirer mes mains et de les laisser le long de mon corps, ils me disent :

  • Sois naturelle, fais comme si tu étais chez toi, nous te protégeons de la rue, tu ne risque rien.

Comme si il était facile d’exposer sa nudité comme ça. Je me dis que de toute façon c’est comme si j’étais à la plage et puis au point où j’en suis ! Hésitante je m’exécute. Ils commentent mon physique et visiblement, ils me trouvent belle. Quelques commentaires fusent sur l’épilation de mon sexe, j’en rougis. Celle qui a détruit mes vêtements, (Céline) s’approche, pose une main sur mon ventre et m’embrasse tendrement dans le cou. Je n’ose bouger. Elle vient d’embrasser mon sein droit. Je la repousse. Sa main descend maintenant sur mon sexe, à nouveau je la repousse. Elle revient la charge ! Elle aspire maintenant mon sein gauche, tout en caressant le droit, vraiment elle sait s’y prendre. D’un éclair de lucidité je me dégage, le répis n’est que de courte durée. Son regard, j’ai l’impression que je suis une proie ! A nouveau elle charge, son insistance a raison de moi. Je me surprends à la laisser faire. Mes seins pointent, mon esprit dit non mais mon corps crie oui, je suis vaincue par tant de détermination..

Elle : N’aie pas peur, je ne te veux pas de mal, et puis je vois quelque chose qui me plait beaucoup, laisses-moi t’embrasser.

Céline pose ses lèvres sur mon ventre puis se mettant à genoux sa bouche prend possession de mon sexe. Je ne résiste plus. D’autorité elle écarte et lève très haut ma jambe dont le pied est nu, je suis maintenant en équilibre sur un pied, pour ne pas tomber je prends appui avec les mains sur les garçons. Je sens mon sexe s’ouvrir et la laisse aspirer mes chairs. Une autre (Anaïs) prend possession de mes seins et les agaces, je ressens des sensations entièrement nouvelles, c’est la première fois que des femmes me touchent. C’est très agréable et si elles continuent je vais prendre du plaisir. Céline aspire mon clitoris et le caresse de sa langue, elle passe sa main dans ma raie, je ferme les yeux, je suis partagée entre la peur, le plaisir et la honte. Mon plaisir est là, ma vulve est prise de contractions, un doigt, deux trois peut-être me pénètrent. Délaissant mon clitoris pour mon vagin je ne peux m’empêcher de contracter mes muscles sur ses doigts, les empêcher de sortir ! Je voudrais l’implorer de reprendre mon clitoris en bouche, mais non . Ouvrant les yeux je constate que Céline me fixe. Elles s’arrêtent alors que je suis aux portes de l’orgasme. Tout en maintenant ma jambe levée elle me murmure à l’oreille :

  • Tu es adorable mais je te garde pour plus tard. Je vais me régaler, tu as un très gros clitoris très expressif.

Elles me laissent frustrée au bord de l’orgasme le sexe ouvert, enflé, mon intimité offerte aux caresses du vent, je sens mon bouton continuer librement ses contractions. Je voudrais qu’elles « me finissent », j’en perds le peu de fierté qu’il me reste. Quelle honte de me laisser manipuler ainsi ! Céline recommence m’embrasser les seins, dans le cou, de tant en temps elle caresse mon sexe. J’aperçois les garçons, les pantalons ont visiblement bien du mal à contenir leurs sexes.

  • On n’en a pas encore fini

Et alors elle s’écarte et m’expose aux regards des garçons. De ma main droite je cherche à me protéger, mais aussitôt Anaïs s’en saisit ainsi que de la gauche et tout en maintenant mes mains rapprochées dans mon dos m’oblige à ma cambrer. Les garçons fixent du regard mon sexe ouvert. Mon esprit crie pitié, n’ayant plus de petites lèvres l’entrée de mon vagin est complètement exposé. Tant qu’elle tien ma jambe en « attitude » mon anatomie est offerte à leurs regards. Mortifiée je ferme les yeux, je me concentre sur mes sensations, je sens mon plaisir monter. Je la sent passer dans mon dos, écarter encore ma jambe. Comme un maître de danse qui continue de me contraindre elle me retient pour que je ne tombe pas et me dit :

Tu es très souple ma chérie. Je t’assure que tu chauffes les garçons à blanc !

Tout en me mordillant le lobe de l’oreille elle me maintien ainsi, les contractions redoublent, de sa main libre elle saisit mon clitoris et le fait glisser entre ses doigts, puis elle caresse l’entrée de mon vagin. L’orgasme vient, il est là la vague de plaisir me submerge, je ne peux retenir le cri de plaisir conséquence de l'orgasme qui me déchire au plus profond. Les doigts abandonnent mon nid, j’ouvre les yeux et sous les applaudissements observe mon auditoire.

  • Tu vois personne à part nous personne n’a pu te voir.

Lentement elle libère ma jambe, je suis épuisée, mon ventre est comme cisaillé. Je suis obligée de m'accroupir pour remettre ma chaussure. J’en profite pour observer mon entrejambe, mon clitoris, mes lèvres, tous sont enflés, rouges, injectés de sang. Une fois relevée je tente refermer mon sexe mais Anaïs et Céline de chaque coté me prennent les mains. Nous nous mettons en marche. Ils disent qu’ils sont mes « bodygard ». La palissade ainsi formée m’empêche de voir. Je demande à Céline « où nous allons ? », elle me répond : « au stade ». Le stade est à vingt minutes en sens opposé de mon appartement. Je réfléchis à l’itinéraire et horreur, on va traverser les rues commerçantes, la place de la mairie, tout le centre ville. Je demande l’heure : 09H15. Que se passe-t-il à 09H15 le Samedi ? Le marché c’est le lundi et le Jeudi, et mis à part l’énorme agitation qu’occasionne les commerces l’après-midi je me dis que de ce côté là je peux être tranquille. Je questionne un des garçons sur ce qu’ils veulent me faire, il me répond :

  • Rien de spécial, mais comme tu aimes te balader à poil en pleine ville on va t’offrir une petite ballade.

Je leurs explique que je ne suis pas exhibitionniste et ce qui m’est arrivé. Ils en rigolent. Ils sont sûrs que j’en suis une, sinon jamais je ne serai avec eux à marcher nue dans la rue, j’aurais tentée de m’enfuir, je ne me serai pas laissé donner du plaisir devant eux et je ne leurs parlerai pas aussi tranquillement. Il en vient à me demander si je suis excitée par la situation. Impensable d’avouer que je mouille abondamment, que mes seins me font mal tant ils sont durs, que j’ai nouveau envie de prendre du plaisir. Malgré tout je lui réponds que je ne suis nullement excitée et qu’il me tarde de m’habiller. En pointant du doigt mon sexe il me dit que ce n’est pas ce que je donne à voir. D’un rapide coup d’œil je constate que le feu qui embrase mon sexe ne s’est pas calmé, mon clitoris restant aux gardes à vous. Je suis trahie par mon corps ! Céline en ajoute encore, elle me qualifie de « soumise ». Impossible, cela ne correspond pas à mon caractère. Je me laisse porter par mes pensées, je suis bien ! Je réalise pleinement ce qui se passe, je suis nue en pleine ville, en pleine journée, j’y avais déjà rêvé, juste en rêve ! L’émotion me submerge, je suis nue ! je me le répète, je suis nue, oui je veux être vue, oui j’aime ça, je suis exhibitionniste ! Nous arrivons maintenant dans les rues piétonnes, des rues bordées de magasins de vêtements et de chaussures. J’ai mes habitudes dans de nombreux magasins et suis connue des commerçants. Très excitée je continue à discuter avec Céline de sa prétendue « soumission ». Tout doucement elles me passent les mains dans le dos, je ne résiste pas, ainsi je me sens encore plus exposée. Tout en marchant Céline recommence à me caresser, tout d’abord mon ventre puis mon sexe. Je lui demande de faire attention, mon clitoris étant extrêmement sensible. Un peu de salive et elle reprend ses caresses, je vais jouir en marchant. Elle s’arrête puis en souriant elle ordonne :

  • Les garçons, on ouvre

Soudain, la palissade qui me protège se disloque, mes bodyguard se dispersent me laissant exposée à la vue des passants et des commerçants. Je continue à avancer, face à moi des passants qui rigolent, les clients à la terrasse du café se lèvent et applaudissent, mes jambes me portent à peine, mon cerveau va exploser, trop de pensées se bousculent à la fois. Nous passons devant la terrasse du café sous les applaudissements, puis devant ma pharmacie, aucune vulgarité ne vient troubler l’émotion qui me submerge. Après une centaine de mètres la palissade se reforme, ils ont décidés de jouer à m’exhiber. Ils rigolent, je me laisse emporter et rie avec eux. Nous nous arrêtons dans une petite rue, ils se tournent vers moi en me demandant si cette petite surprise m’a plue. Céline met sa main sur mon sexe, glisse un doigt entre mes lèvres, me caresse et répond :

  • Oui, elle en redemande

Je suis très excitée mais tout dans mon esprit s’embrouille, pourquoi ce sentiment de confiance envers mes gardes alors qu’ils se moquent de moi? Ils me demandent ce que je veux faire, si je veux continuer avec eux ou rentrer chez moi. Si je veux rentrer ils me donnent un tee-shirt pour mais je leur donne mes chaussures. Le deal c’est donnant/donnant. Si j’accepte de les suivre ils me raccompagneront en fin d’après-midi chez moi. Je ne sais que choisir, finalement ma conscience reprend le dessus et je choisis le tee-shirt. Un sac de sport s’ouvre, un vêtement apparaît. On me rappelle le deal, aussi j’abandonne mes chaussures. Le contact du sol sous mes pieds m’électrise, c’est très agréable. Je passe le tee-shirt, deux fines bretelles posent sur mes épaules, court il m’arrive au ras des fesses, trop large l’échancrure est tellement importante que mes seins menacent de s’échapper! Devant mon étonnement la réponse fuse :

  • Je te rassure, il t’arrive sous les fesses et comme il est ample on ne voit rien. De toute façon je n’ai rien d’autre à te passer mais si tu préfère je te rends tes chaussures!

Etonnée je l’observe, et je comprends, c’est les chaussures ou le tee-shirt. Tant pis, c’est décidé je rentre chez moi. Elle me demande mon adresse et mon téléphone (que je lui donne) pour ramener mes talons ce soir et aussitôt fait, sans un mot ils reprennent leur chemin me laissant là.

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